Les étrangers qui possèdent des biens immobiliers en Espagne, qu'ils soient résidents ou non-résidents, sont soumis à différents impôts, dont l'impôt sur le revenu des non-résidents (IRNR). Les biens immobiliers non résidents situés sur le territoire espagnol sont soumis à cet impôt, dont les taux varient en fonction du type de bien et du vendeur. Les biens immobiliers d'occasion vendus par des particuliers sont soumis à l'impôt sur les transferts de propriété (ITP), tandis que les biens immobiliers neufs vendus par des promoteurs sont soumis à la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) et parfois au droit de timbre (AJD). Les non-résidents qui louent leur propriété en Espagne doivent payer l'impôt sur les revenus ou les loyers perçus, tandis que les non-résidents qui utilisent la propriété pour eux-mêmes doivent payer l'impôt sur les revenus hypothétiques générés par leur propre utilisation.

L'administration fiscale espagnole exige que les non-résidents paient l'impôt sur les gains provenant de la vente d'un bien immobilier dans les trois mois suivant la vente. Les acheteurs doivent retenir 3 % du prix du bien et les verser à l'administration fiscale à titre d'acompte sur le règlement définitif de l'impôt correspondant (IRNR). Outre l'IRNR, les propriétaires non-résidents peuvent également être soumis à l'impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPF), à l'impôt sur le patrimoine (IP), à l'impôt sur les biens immobiliers (IBI), à l'impôt municipal sur les plus-values (Plusvalía Municipal), à l'impôt spécial sur les biens détenus par des entités non-résidentes, à la déclaration sur les biens et droits à l'étranger et à l'impôt sur les successions et les donations.

L'impôt sur les revenus des non-résidents (IRNR) est un impôt direct prélevé sur les revenus obtenus sur le territoire espagnol par des personnes physiques ou morales qui ne résident pas en Espagne. Le taux d'imposition varie selon que le contribuable est résident de l'Union européenne, de l'Islande ou de la Norvège. Les résidents de ces pays sont soumis à un taux inférieur à celui des autres pays.

En conclusion, les propriétaires non-résidents de biens immobiliers en Espagne doivent payer plusieurs impôts, notamment l'IRNR, l'impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPF), l'impôt sur le patrimoine (IP), l'impôt sur les biens immobiliers (IBI), l'impôt municipal sur les plus-values (Plusvalía Municipal), l'impôt spécial sur les biens détenus par des entités non-résidentes, la déclaration sur les biens et droits à l'étranger, et l'impôt sur les successions et les donations. Lors de l'achat d'un bien immobilier en Espagne, le type d'impôt varie en fonction du type de bien et du vendeur. Les biens d'occasion vendus par des particuliers sont soumis à l'impôt sur les transferts de propriété (ITP), tandis que les biens neufs vendus par des promoteurs sont soumis à la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) et parfois au droit de timbre (AJD). Les non-résidents doivent également payer l'impôt sur les gains provenant de la vente d'un bien immobilier dans les trois mois suivant la vente, et les acheteurs doivent retenir 3 % du prix du bien et les verser aux autorités fiscales à titre d'acompte sur le règlement final de l'impôt correspondant (IRNR).

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